Je suis récemment tombé sur le site « If it were my home » qui vous propose de découvrir quelles seraient vos conditions de vie si vous étiez nés dans un autre pays. Il m’a fait penser à cet article de Cédric sur les ordres de grandeur. Cependant, outre les superficies, celui-ci compare aussi quelques critères clés de nos conditions de vie. Le site est bien structuré et facile à utiliser. J’adore ce type de site qui arrivent à simplifier les données et à les organiser de façon claire et simple à digérer.
Si vous étiez au Yémen par exemple, vous utiliseriez en moyenne 97.48% d’électricité de moins qu’en France… Il est toujours bon de prendre un peu de recul sur la situation.
Avec ses 500 millions d’utilisateurs, Facebook génère une masse de données impressionnantes qui fait les beaux jours des « visual designers ». Coïncidence ou non, deux visualisations très intéressantes ont émergé la semaine dernière. La première met en avant l’un des atouts majeurs de Facebook, quand l’autre montre ses mauvais penchants.
Un monde interconnecté
Un monde interconnecté ou presque
Cette carte est le travail de Paul Butler, un stagiaire de Facebook qui a analysé les amitiés de 10 Millions de profils Facebook. Même si ces échanges ne sont pas vraiment planétaires, on voit que de nombreuses personnes entretiennent des relations avec des gens à l’autre bout du monde. Impensable il y a quelques années.
Certains s’inquiètent, à juste titre, du côté égocentrique qu’amènent ces réseaux exhibitionnistes. Personnellement, cette carte me fait penser aux échanges de lettres entre érudits du temps des Lumières. Quand on sait ce qu’il en est sorti, on peut espérer un résultat positif à la multiplication des échanges internationaux qu’entraînent les réseaux sociaux.
Echanges de lettres entre philosophes des lumières
La transparence pour plus de flicage
De l’autre côté de cette « république des lettres » moderne, on peut également voir les écueils de tant d’ouverture. +Continue Reading